Projet DYNAMO, dirigé par le DR. Kfutwah Anfumbom
Les infections par VIH-O sont retrouvées chez environ 1% des patients au Cameroun. En dehors du Cameroun, une centaine de patients seulement ont été diagnostiqués en France et tous ne sont pas traités. L’histoire naturelle des infections par VIH-O et les conditions de leur prise en charge thérapeutique restent donc largement méconnues. La résistance naturelle ou la moindre sensibilité des VIH-O à certaines classes d’ARV compliquent la prise en charge thérapeutique. La quantification virale de ces souches est difficile.
L’objectif de DYNAMO est de comparer les réponses virologiques, cliniques et immunologiques aux ARV chez les patients infectés par le VIH-1 de groupes O et M. et de contribuer à l’élaboration de recommandations spécifiques pour le suivi des patients VIH-O. Cinquante sept patients VIH-1 O et 114 patients VIH-1 M seront inclus et suivis pendant 24 mois (charge virale, dosage de l’amylase, de la créatinine, du cholestérol et des triglycérides). Les tests de résistance génotypique et phénotypique sont réalisés systématiquement à l’inclusion (J0) chez tous les patients VIH-1 O et dans les cas d’échec thérapeutique pour les deux groupes. L’échec thérapeutique, le profil de résistance, la dynamique du taux de CD4 et de la charge virale et l’évolution clinique seront déterminés. Le projet est financé par l’ANRS.
L’objectif de DYNAMO est de comparer les réponses virologiques, cliniques et immunologiques aux ARV chez les patients infectés par le VIH-1 de groupes O et M. et de contribuer à l’élaboration de recommandations spécifiques pour le suivi des patients VIH-O. Cinquante sept patients VIH-1 O et 114 patients VIH-1 M seront inclus et suivis pendant 24 mois (charge virale, dosage de l’amylase, de la créatinine, du cholestérol et des triglycérides). Les tests de résistance génotypique et phénotypique sont réalisés systématiquement à l’inclusion (J0) chez tous les patients VIH-1 O et dans les cas d’échec thérapeutique pour les deux groupes. L’échec thérapeutique, le profil de résistance, la dynamique du taux de CD4 et de la charge virale et l’évolution clinique seront déterminés. Le projet est financé par l’ANRS.